Tarière
Auteur : Denis Baize
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Article accepté le 3 septembre 2025
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| Article mis en ligne le 4septembre 2025 | |
Définition, historique et emplois divers
Une tarière est un outil permettant de percer des trous étroits et plus ou moins profonds.
Le mot tarière a d’abord désigné un outil employé par les menuisiers et charpentiers pour faire des trous dans le bois. Cet emploi est attesté dès l’Antiquité, par exemple dans le Théagès du pseudo-Platon (IVe siècle av. J-C).
La tarière est également utilisée en horticulture pour opérer des greffes (des « entes ») dans les troncs et les racines d’arbres fruitiers, et ce dès l’Antiquité. En atteste par exemple le célèbre De re rustica de Caton l’Ancien (160 av. JC). Cet usage est encore mentionné au XIVe siècle, notamment par Pierre de Crescens ([ca. 1306] 1373). Dans son traité sur L’art de greffer (1869), Charles Baltet mentionne encore l’usage d’une tarière pour les greffes dites « à la vrille ».
La première personne à avoir employé une tarière pour étudier les sols et leur épaisseur aurait été Bernard Palissy en 1580 (Feller & Blanchart, 2004) ; du moins est-ce lui qui en aurait laissé les premières traces écrites (édition de 1880, p. 413). Plus tard, en 1600, Olivier de Serres décrit un instrument identique sous le nom de “taravelle” pour faire des plantations[1].
La popularité de la tarière pour l’étude des sols augmente notablement au cours du XVIIIe siècle, comme en attestent les nombreuses descriptions qui en sont faites dans plusieurs ouvrages que l’on peut rattacher à la mode agronomique des Lumières. Peu à peu le mot sonde devient synonyme de tarière comme outil utilisé pour sonder les sols et en connaître les propriétés (voir l’annexe 1 pour un historique beaucoup plus complet sur cette période).
Aujourd’hui, les agriculteurs et certaines entreprises les utilisent pour planter des piquets de clôture ou, par exemple, des poteaux électriques ; les forestiers et viticulteurs y ont recours pour leurs plantations. Pour ces usages modernes, on distingue les tarières manuelles et celles à moteur (électrique ou thermique).
Quant aux pédologues et aux agronomes, ils réalisent des sondages au moyen de tarières manuelles qu’ils enfoncent verticalement pour extraire et observer des carottes, ce qui leur permet de se faire une idée d’un sol sans avoir à creuser une fosse. En respectant certaines précautions ils peuvent également prélever des échantillons pour analyses.
Les tarières manuelles utilisées en agronomie et pédologie
Elles sont constituées de 3 parties (figure 1). De haut en bas :
- Un manche pour tourner et donc enfoncer avec ou sans poignées en caoutchouc.
- Un corps en métal, habituellement long d’1 mètre, avec possibilité de rallonges. Certains modèles sont démontables en 2 parties (connexion par baïonnette ou vis conique). Cette caractéristique permet de transporter la tarière plus facilement et d’insérer des rallonges pour des observations plus profondes.
- Une « tête » dont il existe plusieurs types :
- à gouge : diamètre très petit, 2 à 5 cm, pour prospection peu profonde (le plus souvent 50 cm), dispositif qui rend les observations peu aisées ;
- à vis hélicoïdale (ou « spirale ») : efficaces pour percer des trous, ces tarières réduisent le sol en des sortes de copeaux qui ne permettent pas une observation convenable. Elles sont donc inutilisables en agronomie ou en pédologie ;
- constituée de deux lames parallèles plus ou moins enveloppantes, en forme de cuillère, formant un cylindre creux d’un diamètre de 5 à 10 cm (figure 2). Permettant d’extraire des carottes cylindriques de 20 cm de longueur au maximum, ce sont ces modèles qui sont employés pour l’étude des sols ;
- carottier avec couronne de forage dentelée. Les carottiers (ou tarières racinaires) sont utilisés pour obtenir des échantillons non remaniés d’assez gros diamètres (8 à 15 cm) ou pour étudier l’enracinement (figure 3).
Les sondages à la tarière : utilité, limites et usages
Lorsqu’ils veulent étudier sérieusement le sol en un point précis, les agronomes comme les pédologues ou les forestiers s’efforcent de creuser une fosse suffisamment grande et profonde pour pouvoir y observer tous les horizons ou, au moins, les couches modifiées par les pratiques culturales. Dans ce dernier cas, il s’agit de l’examen du profil cultural (Hénin et al., 1960 ; Gautronneau & Manichon, 1987).
Une fosse convenablement creusée et dont au moins une paroi a été bien « nettoyée » permet des observations très utiles, à commencer par tout ce qui concerne la structure de chaque horizon (l’organisation relative des éléments solides et de toutes les sortes de vides) mais aussi ce qui concerne l’enracinement, d’éventuelles traces laissées par des engorgements (hydromorphie), l’existence de niveaux compacts d’origine naturelle ou agricole, etc. On peut également distinguer les différentes couleurs et en tirer un certain nombre d’informations, noter la présence de calcaire, constater la nature et l’état du matériau sous-jacent qui a donné naissance au sol (roche-mère, matériau parental)… En outre, il est possible de réaliser toutes sortes de prélèvements ou de mesures ‘’in situ’’ dans de bonnes conditions opérationnelles (Baize & Jabiol, 2012), sans oublier de prendre des photos.
Mais, dès que l’on souhaite prendre connaissance de la nature du sol sur une assez grande surface, la multiplication des fosses n’est plus possible, principalement pour des raisons de coût et de temps disponible. Il est alors nécessaire de faire appel à des sondages réalisés à la tarière manuelle. Ces sondages peuvent être multipliés car il suffit de 10 à 20 minutes pour en effectuer un et pour noter les observations recueillies.
Ces sondages verticaux étroits (Ø 6 à 8 cm) permettent d’extraire des échantillons modérément perturbés verticalement (respect des successions verticales à 1 ou 2 cm près), mais déformés et tordus horizontalement, ce qui se traduit notamment par l’écrasement des agrégats naturels.
Ainsi, certaines données ne peuvent jamais être décrites correctement par sondages à la tarière : structure, forme des limites d’horizons, enracinement, abondance et nature des vides, état de la roche sous-jacente, etc.
D’autres ne peuvent être décrites qu’imparfaitement : abondance des éléments grossiers, taches, profondeurs et formes des limites entre horizons.
D’autres enfin ne souffrent pas de la méthode : détermination de la texture, couleurs, humidité, traits hydromorphes, effervescence à l’acide chlorhydrique pour détecter la présence de calcaire. En outre, la réalisation d’un sondage permet de découvrir par sensation directe certaines caractéristiques mécaniques du matériau, notamment la compacité.
Les limitations les plus courantes à l’utilisation de la tarière (impossibilité d’enfoncement) sont causées par l’abondance des éléments grossiers, le blocage sur une roche dure non ou peu altérée et, plus rarement, la présence d’un matériau limoneux ou sableux très sec.
En tenant compte de ces limitations, la tarière est un instrument indispensable pour contribuer à la cartographie des sols, identifier un sol dans le cadre d’un référentiel ou encore reconnaître des zones humides au sens de la réglementation.
Sondages à la tarière et cartographie des sols
Toute réalisation d’une cartographie pédologique, quelle que soit l’échelle des levers, exige de très nombreux sondages car il n’est pas possible d’opérer uniquement par des observations sur fosses.
La densité des sites d’observation doit rester conforme à un certain nombre de recommandations. Par exemple, pour la réalisation d’une carte à 1/50 000, la norme est de 1 sondage pour 10 à 30 ha et d’une fosse décrite et analysée pour 200 à 300 ha. Pour une étude à 1/10.000 (par exemple les « secteurs de références[2] ») la densité moyenne doit être de 1 sondage pour 2 à 3 ha et de 1 fosse pour 10 à 50 ha. De telles directives sont évidemment à pondérer ou ajuster en fonction de la complexité du terrain.
Il est désormais impératif d’intégrer dans la base nationale de données DoneSol (annexe 2 toutes les données ponctuelles (fosses pédologiques et sondages), c'est-à-dire toutes les descriptions et toutes les analyses de sols. Ainsi ces données pourront être mobilisées dans le cadre d‘autres études, éventuellement à des échelles différentes.
Deux grands programmes de cartographie basés essentiellement sur la réalisation et l’interprétation de sondages systématiques
Cartographie des sols du département de l’Aisne (1958 – 1978)
Prospection au 1/5.000 et publication au 1/25.000. Dans ce cadre, plus d’un million de sondages à la tarière ont été réalisés selon un protocole normalisé (Jamagne, 1967).
Sur le terrain, les prospecteurs notent un symbole qui résume les 7 caractères suivants :
- nature lithologique et origine des matériaux ;
- texture et succession éventuelle de 20 en 20 cm ;
- apparition d’un (éventuel) substrat ;
- classes d’hydromorphie, évaluées d’après les traits morphologiques d’oxydoréduction ;
- teneur en calcaire des 40 premiers centimètres ;
- charge en éléments grossiers des 40 premiers centimètres ;
- « développement de profil »[3].
Tous ces critères sont prévus selon un certain nombre de classes, chacune étant représentée par une lettre ou un chiffre qui se succèdent dans un ordre déterminé. Ainsi, le symbole LL4d signifie :
- L : matériau originel pléistocène d’origine lœssique ;
- L : sol de granulométrie limoneuse (diagramme textural simplifié à 9 classes, c’est-à-dire < 30 % d’argile et < 15 % de sables) ;
- 4 : drainage faible (horizon g à moins de 40 cm de profondeur) ;
- d : sol à horizon Bt morcelé, avec présence de langues de dégradation bien marquées.
Cartographie des sols de Bretagne par la « méthode tarière » (Rivière et al., 1992)
Dérivé de la méthode utilisée pour le département de l’Aisne et adapté spécialement au contexte du Massif armoricain, ce système est fondé sur quatre critères :
- le type de matériau géologique (24 classes) ;
- la classe d’hydromorphie (9 classes) ;
- le « développement de profil » (15 classes) ;
- la profondeur du sol (apparition d’un matériau géologique intact ou d’une altérite argileuse,6 classes).
Ainsi, le symbole R3B4 signifie :
- R : à substrat de schiste gréseux ;
- 3 : taches d’oxydoréduction peu abondantes apparaissant à une profondeur comprise entre 40 et 80 cm ;
- B : « sol brun » ;
- 4 : matériau géologique apparaissant entre 40 et 60 cm de profondeur.
Rattachement à un référentiel préexistant
En l’absence d’une cartographie de sol disponible à l’échelle requise, l’agronome ou le forestier peut mobiliser des typologies préexistantes pour identifier le type de sol d’une parcelle et accéder à des informations relatives à ses caractéristiques agronomiques ou stationnelles. Une observation du sol par un sondage tarière est rapide et peu coûteuse et la description collectée sera utilisée pour se situer au sein d’un catalogue de sols déjà identifiés et décrits localement.
Mais le rattachement d’un sol décrit dans une fosse à un référentiel, qu’il soit local, régional ou national n’est pas toujours une démarche aisée compte tenu des variabilités spatiales et typologiques intrinsèques à l’objet sol. C’est encore plus difficile pour un sondage à la tarière pour lequel la prise d’information est incomplète.
- Référentiels locaux
Ces observations peuvent être rattachées à un référentiel local établi à l’échelle de l’exploitation agricole ou bien à une typologie construite pour une petite région naturelle (Baize, 1989 ; Moulin ‘’et al.’’, 1992 ; Ailliot et al., 1996 ; Sauter et al., 1999).
- Référentiels régionaux
Sur tout le territoire national, les Référentiels Régionaux Pédologiques (RRP) se composent d’une couche cartographique (carte d’associations de sol) à l'échelle du 1/250.000 (donc peu précise) et d’une base de données définissant les caractéristiques des associations de sols, et de chacun des types de sols qui les composent.
Les Référentiels Régionaux Pédologiques rassemblent des données très fines et très complètes sur les sols. Cependant ils sont trop complexes pour être intégrés dans les outils d’aide à la décision (OAD). C’est pourquoi les typologies TypTerres ont été conçues : il s’agit de typologies simplifiées basées sur les RRP, mais qui regroupent les sols présentant les mêmes propriétés agronomiques. Les TypTerres permettent d’avoir une liste de sols en nombre raisonnable et d’obtenir des informations pédologiques simplifiées (Laroche et al., 2020).
L’identification d’un type de sol au sein d’un ensemble régional déjà décrit facilite le diagnostic à finalité agronomique, les référentiels pouvant avoir fait l’objet d’interprétations ciblées (réserve en eau utile, état calcique, fertilité chimique, circulation de l’eau, …) (Sauter ‘’et al.’’, 1999). Il faut souligner l’importance de ces interprétations pour l’utilisation de nombreux outils de diagnostic et d’aide à la décision nécessitant de renseigner avec fiabilité des caractéristiques de sol pour modéliser correctement les situations.
- Référentiel national et international
Pour la France, il s’agit du Référentiel pédologique 2008 (Afes, 2009).
- Absence de référentiel
En fait, il n’est pas forcément nécessaire de se référer à une typologie préexistante pour cartographier les sols : « Par sa nature propre, l’activité cartographique n’implique pas l’existence d'une classification générale préétablie, elle comprend, en revanche, une classification particulière adaptée et limitée au terrain étudié ainsi qu’à l'objectif de l’étude » (Baize, 1986). Cette cartographie purement typologique « est fondée sur une typologie personnalisée, c’'est-à-dire adaptée au terrain étudié et au jeu de données recueillies. La cartographie typologique s’'efforce de définir d’'abord des "types [de sols] morphologiques" qui soient à la fois significatifs par rapport aux éléments de l’'environnement et de la formation des couvertures pédologiques, et opératoires en matière d’utilisation ou d’aménagement. Après quoi, il s’agit de délimiter dans l’espace l’extension de ces différentes unités typologiques » (Baize, 1992).
Reconnaissance des sols de zones humides
(Décret n°2007-135 du 30 janvier 2007, Article R211-108 du code de l’environnement).
L’expertise de terrain s’appuie sur une reconnaissance de la végétation et sur une interprétation pédologique du sol grâce à des sondages effectués jusqu’à 1,20 m de profondeur à l’aide d’une tarière manuelle. Les carottes successives (de 20 cm de longueur) peuvent être alignées dans une gouttière, donnant ainsi une reconstitution du profil de sol (figure 4). La reconnaissance certaine de traits hydromorphes liés à des engorgements actuels est à la base du diagnostic ainsi que la détermination de leurs profondeurs d’apparition. Ces dernières ont une grande importance et doivent donc être déterminées avec la meilleure précision possible, ce qui n’est pas facile sur sondage.
Notes
- ↑ Taravelle : De l’occitan taravella, diminutif du latin terebra (« tarière ») qui donne régulièrement térébelle. Plantoir dont se servent les viticulteurs bordelais.
- ↑ Études pédologiques à l'échelle du 1/10 000 qui permettent de traiter des questions agricoles ou environnementales avec une bonne précision à l'échelle locale : irrigation, drainage, aptitudes à l'épandage, adaptation des cépages aux terroirs... Les références techniques ainsi acquises pourront être généralisées à un territoire plus vaste présentant les mêmes caractéristiques physiques.
- ↑ Il s’agit de la succession des horizons exprimant (ou non) une différenciation notable et interprétée en termes de types de sols (rendosols, luvisols, podzosols, etc.).
Références citées
- Afes, 2009. Référentiel pédologique 2008. D. Baize et M.C. Girard (coord.). Quae, Paris, 432 p.
- Ailliot B., Verbeque B., Goussault C., 1996. Les terres de Beauce : typologie des sols. Chambres d'agriculture d’Eure-et-Loir, du Loiret et du Loir-et-Cher, 52 p.
- Baize D., 1986. Couvertures pédologiques, cartographie et taxonomie. Science du Sol, 24 (3) : 227-243.
- Baize D., 1989. Typologie des sols de l'Yonne. Plateaux de Bourgogne. INRA, 148 p.
- Baize D., 1992. Typologies et types en pédologie. Science du Sol, 30 : 95-115.
- Baize D., Jabiol B., 2012. Guide pour la description des sols. Nouvelle édition. Quae, Paris. 448 p.
- Baltet C., 1869. L’art de greffer. 5e édition. Masson, Paris, 320 p.
- Caton M. Porcius (dit l’ancien), [160 av. J.C.] 1877. De re rustica. Traduction par M. Nisard. Firmin Didot, Paris. Texte intégral sur remacle.org.
- De Crescens P. (Pietro de Crescenzi), [[ca. 1306] 1373] 2023. Le livre des prouffitz champestres et ruraulx de Pierre de Crescens (traduction faite en 1373 du Ruralium commodorum opus, sous le titre Rustican du labour des champs, translaté du latin de Pierre de Crescens en français, par l'ordre de Charles V, roi de France). Vol. 1 : Introduction et texte (livres I-VIII), édité par Fleur Vigneron. Honoré Champion, Paris, 2023, 806 p.
- Feller C., Blanchart E., 2004. Quatre grands savants ont observé des profils et/ou décrit des techniques de prospection pédologique avant 1850 : Palissy, Buffon, Thaer et Darwin. Étude et Gestion des Sols, 11 (2) : 165-173. [Texte intégral] sur le site de l’AFES.
- Gautronneau Y., Manichon H. 1987. Guide méthodique du profil cultural. CEREF-ISARA/GEARA-INAPG. Texte intégral sur le site de l'ISARA.
- Hénin S., Féodoroff A., Gras R., Monnier G., 1960. Le profil cultural. Principes de physique du sol. Société d'Edition des Ingénieurs Agricoles, Paris, 320 p.
- Jamagne M., 1967. Bases et techniques d’une cartographie des sols. Annales agronomiques, 18 (hors série), 142 p.
- Laroche B., Degan F., Koller R., Scheurer O., Bouthier A., Moulin J., Sauter J., Ducommun C., Fort J.-L., Maillant S., Party J.-P., Renouard C., Saby N.P.A., Bertouy B., 2020. Typterres : Vers une typologie agronomique partagée. Étude et Gestion des Sols, 27, pp. 241-255. [Texte intégral] sur le site de l’AFES.
- Moulin J., Dupont J., Servant J, 1992. Les terres de Champagne berrichonne : typologie des sols agricoles et forestiers. Chambre d’agriculture de l'Indre, Châteauroux-Bourges, 64 p.
- Palissy B. [1580] 1880. Œuvres complètes publiées d’après les textes originaux, avec une notice historique et bibliographique et une table analytique par Anatole France. P. Charavay, Paris. XVII-499 p.
- Rivière J.-M., Tico S., Dupont C., 1992. Méthode tarière. Massif armoricain. Caractérisation des sols. Chambre régionale d’agriculture de Bretagne / INRA, Rennes, 20 p.
- Sauter J., Burtin M-L., Koller R., Party J.P., 1999. Guide des sols d'Alsace : petite région naturelle Plaine Sud-Alsace : un guide pour l'identification des sols et leur valorisation agronomique. Région Alsace, Strasbourg, 183 p.
- Serres O. de, [1600] 1804. Le théâtre d’agriculture et mesnage des champs… t. 1. Nouvelle édition, publiée par la Société d’Agriculture du Département de la Seine, Huzard, Paris, CXCII + 672 p. [Texte intégral] sur Gallica.
