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Les articles des ''Mots de l'agronomie'' citent des personnalités diverses qui ont joué un rôle dans l'évolution des techniques, des idées ou du vocabulaire. Il peut donc être intéressant de trouver réunies différentes informations sur chacune de ces personnalités : une présentation très rapide (cet ouvrage n'a pas, dans un premier temps, vocation à proposer des articles bibliographiques), les liens vers les articles dans lesquels elle est citée, et des liens externes vers des sources complémentaires (bibliographies, accès à des textes en ligne...).
Les articles des ''Mots de l'agronomie'' citent des personnalités diverses qui ont joué un rôle dans l'évolution des techniques, des idées ou du vocabulaire. Il peut donc être intéressant de trouver réunies différentes informations sur chacune de ces personnalités : une présentation très rapide (cet ouvrage n'a pas, dans un premier temps, vocation à proposer des articles biographiques), les liens vers les articles dans lesquels elle est citée, et des liens externes vers des sources complémentaires (bibliographies, accès à des textes en ligne...).


Par facilité, nous qualifions d'"agronome" des personnalités qui ne se considéraient pas comme telles... parce que le mot (créé en 1760 par Alletz, et qui ne commence à être largement employé qu'à partir du XIX<sup>e</sup> siècle) n'existait pas encore. Un débat demeure entre les tenants d'une "agronomie qui se serait ignorée", pratiquée sans en porter le nom (voir, à ce sujet, les écrits de Jean Boulaine), et ceux qui considèrent que "l’agronomie est déterminée par son histoire, le contexte de son émergence et de son développement" (Russel, 1966 ; Sigaut, 1995 ; Denis)<ref>Pour une présentation plus complète de ce débat, consulter le texte de [[Gilles Denis]] dans ''Histoire et agronomie : entre ruptures et durée'', Robin P. (ed.), Aeschlimann J.P. (ed.), [[Christian Feller|Feller Christian]] (ed.), Renoir S. (collab.) : [http://horizon.documentation.ird.fr/exl-doc/pleins_textes/ed-06-08/010039820.pdf texte intégral] à consulter sur le site de l'IRD (pdf).</ref>. Dans cette dernière optique, certaines des personnes ainsi qualifiées ici n'étaient pas des agronomes.
Par facilité, nous qualifions d'"agronome" des personnalités qui ne se considéraient pas comme telles... parce que le mot (créé en 1760 par Alletz, et qui ne commence à être largement employé qu'à partir du XIX<sup>e</sup> siècle) n'existait pas encore. Un débat demeure entre les tenants d'une "agronomie qui se serait ignorée", pratiquée sans en porter le nom (voir, à ce sujet, les écrits de Jean Boulaine), et ceux qui considèrent que "l’agronomie est déterminée par son histoire, le contexte de son émergence et de son développement" (Russel, 1966 ; Sigaut, 1995 ; Denis)<ref>Pour une présentation plus complète de ce débat, consulter le texte de [[Gilles Denis]] dans ''Histoire et agronomie : entre ruptures et durée'', Robin P. (ed.), Aeschlimann J.P. (ed.), [[Christian Feller|Feller Christian]] (ed.), Renoir S. (collab.) : [http://horizon.documentation.ird.fr/exl-doc/pleins_textes/ed-06-08/010039820.pdf texte intégral] à consulter sur le site de l'IRD (pdf).</ref>. Dans cette dernière optique, certaines des personnes ainsi qualifiées ici n'étaient pas des agronomes.

Version du 8 juillet 2011 à 16:57

Les articles des Mots de l'agronomie citent des personnalités diverses qui ont joué un rôle dans l'évolution des techniques, des idées ou du vocabulaire. Il peut donc être intéressant de trouver réunies différentes informations sur chacune de ces personnalités : une présentation très rapide (cet ouvrage n'a pas, dans un premier temps, vocation à proposer des articles biographiques), les liens vers les articles dans lesquels elle est citée, et des liens externes vers des sources complémentaires (bibliographies, accès à des textes en ligne...).

Par facilité, nous qualifions d'"agronome" des personnalités qui ne se considéraient pas comme telles... parce que le mot (créé en 1760 par Alletz, et qui ne commence à être largement employé qu'à partir du XIXe siècle) n'existait pas encore. Un débat demeure entre les tenants d'une "agronomie qui se serait ignorée", pratiquée sans en porter le nom (voir, à ce sujet, les écrits de Jean Boulaine), et ceux qui considèrent que "l’agronomie est déterminée par son histoire, le contexte de son émergence et de son développement" (Russel, 1966 ; Sigaut, 1995 ; Denis)[1]. Dans cette dernière optique, certaines des personnes ainsi qualifiées ici n'étaient pas des agronomes.

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Notes

  1. Pour une présentation plus complète de ce débat, consulter le texte de Gilles Denis dans Histoire et agronomie : entre ruptures et durée, Robin P. (ed.), Aeschlimann J.P. (ed.), Feller Christian (ed.), Renoir S. (collab.) : texte intégral à consulter sur le site de l'IRD (pdf).