Aubues - Annexe 1

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8 février 2019
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Cette annexe se rapporte à l'article Aubues.

Quelques descriptions dans diverses régions

1. Plateaux calcaires de Basse Bourgogne

Le T… de L…, 1843, p. 170
« A partir des plateaux culminants jusqu'au milieu du groupe néocomien, le sol argileux, rouge-brun, connu sous le nom de petite et grosse aubue domine presque partout. Plus au midi, l'aubue se rencontre encore, mais moins également, et presque toujours dominée par le mélange des argiles et des calcaires du sous-sol ; dans les localités même où cette nature de sol est le plus répandue, il arrive souvent que de la base au sommet des côtes kimméridgiennes, par exemple, on rencontre quatre espèces de terres différentes : vers le bas des pentes, dans le fond des ravins, sont accumulés des amas de détritus ((débris, fragments)) calcaires plus ou moins gros mélangés d'un peu d'aubue ; sur les flancs, les marnes kimméridgiennes règnent seules ; un peu plus haut elles se mélangent d'aubue, enfin sur le plateau cette dernière recouvre le sous-sol sur une plus ou moins grande épaisseur.

Raulin & Leymerie, 1858
« Les Aubues, Obues, Herbues, etc. sont des terres d'argile mélangée de sable, présentant ordinairement une couleur brun rougeâtre et ne renfermant pas de pierres ; elles occupent ordinairement les centres des plateaux oolithiques de la Bourgogne… Les criots, et surtout les aubues des étages oolithiques[1] en portent aussi beaucoup ((de froment d’excellente qualité)) … Les terres calcaires sont principalement des criots et des érènes sur les pentes ; et les terres argileuses surtout des aubues dans les parties plus élevées ».

Mantelet & Radet, 1937
« Les limons rouges légèrement pierreux sont appelés obues, aubues rouges (Yonne) ; herbues rouges, herbues pierreuses, herbues fortes, terres froides (Aube, Haute Marne). Plus au Nord on les distingue sous les noms de rouges terres, terres rouges, limons rouges. Ce sont des terres argilo-siliceuses, peu profondes, décalcifiées, plus ou moins pierreuses, de coloration rougeâtre, brun rougeâtre ou brun foncé. De même que les terres rouges pierreuses, elles reposent sur un sous-sol fissuré et calcaire dérivant de la roche-mère. Elles correspondent en principe à des argiles rouges de décalcification[2]  ».

Concaret & Voilliot (1967) se sont emparés de ce terme vernaculaire en arrivant à la Station Agronomique de l’Yonne (en 1966) et s’en sont servi pour désigner certains sols des plateaux jurassiques, mais également pour des sols de Terre Plaine (voir plus loin) développés dans le matériau d’altération du seul niveau de calcaire dur de cette dépression argileuse (Concaret & Voilliot, 1969).

Concaret & Voilliot, 1967
« Les "terres d’Aubues » : le terme vernaculaire "d’aubue" est réservé à une argile limoneuse rougeâtre, non calcaire… dont l’épaisseur est variable (10 cm à quelques mètres). L’origine et l’âge de cette formation sont, à l’heure actuelle, indéterminés. On peut penser qu’il s’agit de "terra fusca" argile de décalcification constituée in situ aux dépens des calcaires jurassiques »

Baize (1971, 1989, 1991, 2012) en a fait ensuite autant au cours de ses travaux de cartographie et d’étude des sols du département de l’Yonne.

Dans ce secteur des plateaux de Basse Bourgogne, la formule « Terres d’Aubues » désigne une séquence de sols argileux, rougeâtres, non calcaires, plus ou moins épais, développés dans le résidu de décarbonatation de divers calcaires durs jurassiques (figure 2).

Sur les cartes topographiques de l’IGN à 1/25.000 de nombreux lieux-dits situés en cœur de plateaux portent le nom « aubues ».

Figure 1 : La séquence des « terres d’Aubues » des plateaux de basse Bourgogne (Baize, 1989) se lit de droite à gauche.


Aubues blanches : la dissolution des calcaires fournit une couverture résiduelle argileuse qui, au fil de centaines de milliers d’années, évolue par illuviation verticale d’argile (Baize, 2012). Les horizons supérieurs sont fortement appauvris en argile et en fer et présentent une texture limono-argileuse, une coloration claire et une structure peu affirmée tandis que les horizons profonds argileux rougeâtres, restent très fortement et finement structurés. Mais souvent l’érosion a raboté le sol à partir de sa surface : dans les Aubues rouges, seuls subsistent les horizons profonds argileux rougeâtres. Dans le cas des Petites aubues, même l’horizon rouge disparait en partie ou en totalité. Quand le sol devient très peu profond, le défrichement et les labours remontent une quantité variable de cailloux calcaires. Le sol peut même se recarbonater.

Les horizons argileux, rougeâtres, très finement et très fortement structurés des « terres d’Aubes » ont été par la suite l’objet d’étude détaillées, notamment par Bruand et Prost (Bruand, 1985 ; Bruand & Prost, 1986).


2. Terre Plaine, Auxois, Morvan (Bourgogne)

La Terre Plaine correspond exactement aux affleurements surtout argileux et marneux du Jurassique inférieur ou Lias. C’est une plaine de faible altitude dont les roches sont très majoritairement imperméables. C’est la prolongation dans l’Avallonnais (Yonne), de l’Auxois (Côte d’Or).

Raulin & Leymerie, 1858
« …dans la Terre-Plaine elles sont blanchâtres ; elles ne se rencontrent que peu souvent sur les terrains tertiaires ; ce sont ordinairement les meilleures terres à froment des localités où elles existent. … La Terre-Plaine fournit une grande quantité de froment d'excellente qualité, surtout dans les aubues blanches. ». Donc, pour ces auteurs, il y a des aubues dans au moins trois petites régions naturelles (Terre-Plaine, plateaux de Bourgogne et même formations tertiaires du Gâtinais (quoique plus rarement).

Collenot, 1873
« Aubues ou herbues » – Quand le fer hydroxydé diminue sensiblement, les alluvions passent à l’aubue de teinte jaunâtre ou même blanchâtre, souvent se rapprochant de celles du Morvan et quelquefois identiques à ces dernières. Dans ce cas, le sous-sol ne diffère pas de couleur avec la partie cultivée, les grains de fer sont rares mais les sablons granitiques sont plus abondants que dans le mâchefer. L’épaisseur des alluvions de mâchefer et d’aubues, variable selon les lieux, ne dépasse pas généralement 3 à 4 m à son maximum. »

Collenot, 1876
« D’abord des nappes d’aubues formées dans les contrées granitiques, et la plupart apportées par des courants partis du Morvan, vinrent couvrir çà et là différents points de la plaine en s’étendant souvent jusque sur le mâchefer. En même temps, l’action érosive des eaux déplaçait et emportait sur d’autres points le limon de mâchefer plus ou moins remanié et mêlé quelquefois à l’aubue. »

Joly, 1953
« Quelques sondages… ont montré que les pièces de l’industrie lithique, travaillées selon les techniques du Paléolithique moyen se trouvaient vers 1 m. de profondeur, dans des couches argilo-ferrugineuses constituant ce qu’on appelle localement le mâchefer… Les couches superficielles argilo-sableuses, qu’on désigne ici sous le nom d’aubue recèlent des industries néolithiques… »

Mériaux & Perrey, 1964
« Les sols limoneux sont les plus fréquents dans le périmètre étudié. On les observe en position plane, sur le plateau sinémurien. Ils correspondent aux sols localement dénommés « aubues » et sont caractérisés dans leur horizon superficiel par un taux d’argile souvent voisin de 10 à 15 %, quelquefois inférieur à 10 % et toujours inférieur à 18 %, ainsi que par une très forte proportion de limon total (2-50 µ) s’échelonnant entre 66 et 84 %. … On observe à une profondeur variant de 20 à 70 cm un horizon de concrétions ferromanganiques appelé « mâchefer » plus ou moins consolidé, témoin de l’hydromorphie des sols ».

Horon et al., 1968. Notice de la carte géologique de Semur en Auxois.
« Limons - Les formations grossières, constituées d'arènes granitiques, de cailloutis et de blocs d'origine vraisemblablement fluvio-glaciaire, forment des placages sur le bord de certaines croupes au voisinage des vallées de l'Armançon et du Serein. Ces formations sont connues sous le nom d'aubue ».

Donc, dans les trois textes précédents, le mot « aubue » correspond à des alluvions granitiques originaires du Morvan, déposées dans la dépression que constituent la Terre Plaine et l’Auxois.

Concaret & Voilliot, 1969
« Ici quelques précisions s’imposent : les formations appelées « aubues » en Terre-PIaine sont différentes des « aubues des plateaux ». Elles ne désignent pas non plus le même matériau que dans l’Auxois où ce terme correspond aux limons qui les surmontent et que nous étudierons ci-après. En Terre-Plaine, deux types d’aubues sont à distinguer :

  • a) les « aubues » de Terre-Plaine appelées « mâchefer » en Auxois"

Il s’agit d’une formation limono-argileuse ou argilo-limoneuse de teinte brun rouille, riche en pisolithes d’oxydes de fer et de manganèse… La majeure partie de la surface structurale du calcaire à Gryphées arquées est recouverte de ces « aubues ».

  • b) Les « aubues » reposant sur la surface structurale des calcaires à Gryphées géantes.

Ces formations… rappellent en tous points les "aubues" des plateaux de Bourgogne ».

Duthion & Mingeau, 1976
« Fréquent… dans les sols des plaines alluviales et des vallées ou dans les dépressions, l’excès d’eau n’est pas rare en situation de plaine ou de plateau. L’existence d’une couche imperméable, due au substrat géologique proche de la surface ou à une stratification du sol à la suite d’un lessivage ou d’un tassement, peut être en cause. Un cas très répandu est celui des sols chez lesquels l’horizon supérieur limoneux, battant, lui-même imperméable, repose sur un horizon enrichi en argile ; ce sont, parmi d’autres, les sols de boulbènes du Sud-Ouest, les « aubues » ou « erbues » de l’Auxois et de la Plaine Dijonnaise… » Est-ce à dire qu’il y a des aubues dans la plaine Dijonnaise ? La rédaction n’est pas très claire.


3. Forêt de Chaux (39) et Val de Saône.

Plaisance, 1965
2. LIMONS DES PLATEAUX

  • 2.1. Histoire géologique :

« Ils recouvrent les cailloutis sur une épaisseur très variable de 0 à 15 m, et montrent en coupe des aspects nettement différents : quelques-uns feuilletés, les autres généralement non lités : les uns plus argileux, les autres plus limoneux. En Bresse, on trouve inclus des lignites. Il y a aussi des sables, généralement recouverts d'ailleurs par une mince couche de limon. Ils montrent, par endroit, des concrétions ou même des plaques de mâchefer qui relèvent très vraisemblablement de la paléopédologie. »

  • 2.2. Dénominations et caractères généraux :

« Ces sols limoneux sont appelés dans les parlers locaux : aubue, arbue, erbue, terre à pisé, terre à briques ; les concrétions sont des têtes de clous. Les géologues les ont appelés lehm ferrugineux, limon jaune, limon de Bresse, limon des plateaux, limon blanc, diluvium.
Ce sont des sols limono-sablo-argileux, ou parfois limono-argileux, avec des sous-sols argilo-limono-sableux ou parfois argilo-limoneux. Certains… les appellent limon fin argileux. »

Ligeron, 1972
« Les sols de la vallée de la Saône sont formés d’alluvions quaternaires mais presque tous les terroirs comportent des parties où affleurent des argiles siliceuses blanches du pliocène ; pour les habitants ce sont les « arbues » ou les « herbues ». P. de Saint Jacob qui en traite dans ses Paysans de la Bourgogne du nord ne fournit pas d’explication du mot…. Nous proposerions volontiers une autre explication en partant du terme « aubue » fréquent en lieu-dit pour désigner logiquement une contrée de terre blanche. Dans la région qui nous occupe, « aubue » a pu se déformer en « arbue » … puis, par un phénomène bien connu des toponymistes ce mot « arbue » qui n’avait pour les habitants aucune signification s’est transformé en « herbue » dont la racine était familière, d’autant plus facilement que ces sols moins fertiles ont pu être voués à la prairie ». Remarque : ces « argiles siliceuses blanches » n’ont rien à voir avec les « limons des plateaux » décrits par Plaisance !


4. Nord du département de la Vienne et sud de la Touraine

Franc de Ferrière & Riedel, 1967
« Les sols azonaux sont des sols pédologiquement jeunes que l'on observe en particulier sur les pentes rajeunies par l'érosion. Ils présentent des minéraux argileux sous un aspect frais, voisin de celui de la roche-mère originelle. Les 4 premiers sont des sols calcaires rendzinoïdes ou des sols bruns décalcarifiés peu lessivés, observés à la surface des roches-mères calcaires crétacées, dans la partie nord du département de la Vienne, de Loudun à Châtellerault.

  • 1) les sols de sable sur roche-mère glauconieuse cénomanienne, à vocation maraîchère et culturale lorsqu'une nappe aquifère les imprègne (vallée de Lenvigne) et à vocation forestière lorsqu'ils s'en éloignent.
  • 2) les aubues grasses sur roche-mère marneuse cénomanienne,
  • 3) les aubues grasses sur roche-mère marneuse turonienne,
  • 4) les aubues maigres sur roche-mère crayeuse turonienne.

Ces 4 types de sols diffèrent entre eux par une teneur plus ou moins grande en argile. Celle-ci est particulièrement élevée dans les aubues grasses, qui atteignent jusqu'à 40 % d'argile ; elle est moyenne dans les aubues maigres, environ 24 % d'argile ; elle est faible dans les sols de sable glauconieux, où elle ne dépasse guère 5 à 10 %. Ces argiles sont toutes caractérisées par leur teneur en montmorillonite dominante, 6 à 10/10, et en illite faiblement ouverte. »


Site Web - Vocabulaire de termes régionaux pour le Poitou-Charentes (France, le trésor des régions)
« Aubue, ou terre d’aubue, argile limoneuse, gris blanc, fertile, sur substrat calcaire, surtout en Loudunais et Thouarsais. »


Site web - Collines et dépressions sableuses des bordures du Bassin Parisien. (La Biodiversité en Poitou-Charentes)
« Les aubues se rapprochent des tuffeaux blancs, elles sont présentes sur les collines limono-argileuses, sur craie turonienne. Elles forment une séquence de sols calcaires limono-argileux sains, peu profonds sur coteaux et moyennement profonds sur pente faible. »


5. Meuse et Haute-Marne

ANDRA, 2014
« Caractéristiques du site du Laboratoire Souterrain

  • Rappel du cadre géographique

Le site occupe une ancienne terre de culture localisée sur le plateau calcaire qui s'étend de la vallée de la Saulx (à l'Ouest) à la vallée de l'Ornain (à l'Est).

  • Les sols avant implantation du Laboratoire

Les sols initiaux étaient constitués de rendzine brunifiée d’appellation locale « petite terre à cailloux » ou « crayot » pour environ 70% de la surface, de sol brun calcique superficiel dénommé localement « petite aubue », et pour le reste, d’un sol peu évolué d'apport colluvial dit « aubues rouges », d’un sol brun eutrophe. »

  1. A cette époque, la formule « étages oolithiques » désignait les étages du Jurassique moyen et supérieur.Ndlr
  2. En réalité il s’agit d’une accumulation sur place d’éléments fins (argile et fer) par dissolution totale du calcaire qui les retenait prisonniers. Il s’agit donc plutôt d’une décarbonatation.Ndlr

Références citées

  • ANDRA, 2014. Laboratoire de recherche souterrain de Meuse/Haute Marne. Étude d’impact.
  • Baize D., 1971. Contribution à l'étude des sols des plateaux jurassiques de Bourgogne. Essai sur les terres dites "Aubues". Thèse 3e cycle,Université Paris VI, 136 p.
  • Baize D., 1989. Typologie des sols de l’Yonne. Les Plateaux de Bourgogne. INRA Orléans, 154 p.
  • Baize D., 1991. Sols et formations superficielles sur calcaires durs dans le sud-est du Bassin Parisien. Première synthèse. Science du Sol, 29 : 265-287.
  • Baize D., 2012. Les "terres d’Aubues" de Basse Bourgogne : nouvelle synthèse et bilan de matières à très long terme. Étude et Gestion des Sols, 19, 3-4 : 139-161.
  • Bruand A., 1985. Contribution à l'étude de la dynamique de l’organisation de matériaux gonflants. Application à un matériau provenant d'un sol argilo-limoneux de l'Auxerrois. Thèse, Université Paris VII, 237 p.
  • Bruand A., Prost R., 1986. Apport des méthodes d’enrichissement sélectives et des spectroscopies à l’identification des constituants minéraux d’un échantillon de sol. Agronomie, 6, (8) : 717-726.
  • Collenot J.J., 1873. Description géologique de l’Auxois. Semur, Imprimerie et librairie Verdot, p. 410-411.
  • Collenot J.J., 1876. Origine des phosphates déposés dans les bancs du calcaire à gryphées arquées de l’Auxois. Bull. de la Société des sciences historiques et naturelles de Semur, p. 98.
  • Concaret J., Voilliot J.-P., 1967. Étude des sols de l’Yonne. Les plateaux de Bourgogne et leur bordure crétacée. Secteur est d’Auxerre. Station Agronomique de l’Yonne, Auxerre, 52 p.
  • Concaret J., Voilliot J.P., 1969. Étude des sols de l'Yonne. La bordure sud des Plateaux de Bourgogne et la Terre Plaine. Station Agronomique, Auxerre, 87 p.
  • Duthion C., Mingeau M., 1976. Les réactions des plantes aux excès d’eau et leurs conséquences. Ann. agron., 27 (2) : 221-246.
  • Franc de Ferriere J.-J., Riedel C.E., 1967. Minéraux argileux et vocation des sols du département de la Vienne. Revue Forestière française, n°2 : 73-86.
  • Horon O., Caillère S., Kraut F., 1968. Carte géologique France (1/50 000), feuille Semur-en-Auxois (468). BRGM, Orléans.
  • Joly J. (abbé), 1953. Les industries des formations quaternaires de l’Auxois. Revue Archéologique de l’Est et du Centre-Est, IV (4) : 289-301.
  • le T… de L…, 1843. Étude géologique des terrains de la rive gauche de l'Yonne, compris dans les arrondissements d’Auxerre et de Joigny. Imprimerie Perriquet, Auxerre, 231 p.
  • Ligeron L., 1972. L’assolement dans la vallée moyenne de la Saône. Annales de Bourgogne, XLIV (173-174) : pp. 5-47.
  • Mantelet C., Radet E., 1937. Étude pédologique des sols des plateaux jurassiques dans l'est de la France. Bull. AFES, III (3) : 204-237.
  • Mériaux S., Perrey C., 1964. Caractères généraux et possibilités d'assainissement des sols hydromorphes de Montberthault (Côte-d'Or). Bull. AFES, 10 : 397-430.
  • Plaisance G., 1965. Les sols à marbrures de la forêt de chaux (Jura). Ann. Sciences Forestières, 22 (4) : 437-679.
  • Raulin V., Leymerie A., 1858. Statistique géologique du département de l’Yonne. Perriquet et Rouillé, Auxerre. 863 p.


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