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==Un peu d’histoire==
==Un peu d’histoire==
[[File:MotsAgro_Taupage_Annexe 1_1.jpg|250px|thumb|left|<center>’’’Fig. 1. : Mise en place des drains moulés (Barral, 1854).’’’</center>]]
Selon un procédé préconisé par Switzer en Angleterre au XVIII<sup>e</sup> siècle, les premières galeries taupe semblent avoir été réalisées à partir de tranchées (rebouchées ensuite) en tassant la terre autour d’un cylindre déposé au fond de l’excavation (fig. 1) et dont le déplacement de proche en proche permet d’obtenir progressivement une galerie enterrée (Rivard, 1993).
Selon un procédé préconisé par Switzer en Angleterre au XVIII<sup>e</sup> siècle, les premières galeries taupe semblent avoir été réalisées à partir de tranchées (rebouchées ensuite) en tassant la terre autour d’un cylindre déposé au fond de l’excavation (fig. 1) et dont le déplacement de proche en proche permet d’obtenir progressivement une galerie enterrée (Rivard, 1993).
[[File:MotsAgro_Taupage_Annexe 1_2.jpg|250px|thumb|right|<center>’’’Fig. 2. Charrue-taupe d’Adam Scott (Society for the encouragements of Arts, Manufactures, and Commerce, 1798, p. XVI).’’’</center>]]


Plusieurs auteurs (Morogues ''et al.'', 1835 ; Scheidweiler, 1843 ; Rivard, 1993) attribuent l’invention de la charrue taupe à l’anglais Adam Scott qui dépose un brevet en 1797 après des essais réalisés en 1795 (Sinclair, 1825 : 374). Des améliorations y sont ensuite apportées par Lumbert (Loudon, 1825 : 580). L’outil est constitué d’un âge supportant un étançon à l’extrémité duquel est fixé un obus (fig. 2) ; cette configuration est conservée jusqu’à nos jours.  
Plusieurs auteurs (Morogues ''et al.'', 1835 ; Scheidweiler, 1843 ; Rivard, 1993) attribuent l’invention de la charrue taupe à l’anglais Adam Scott qui dépose un brevet en 1797 après des essais réalisés en 1795 (Sinclair, 1825 : 374). Des améliorations y sont ensuite apportées par Lumbert (Loudon, 1825 : 580). L’outil est constitué d’un âge supportant un étançon à l’extrémité duquel est fixé un obus (fig. 2) ; cette configuration est conservée jusqu’à nos jours.  


[[File:MotsAgro_Taupage_Annexe 1_3.jpg|400px|thumb|left|<center>’’’Fig. 3. Charrue-taupe de William Robinson (Byerley, 1827).’’’</center>]]
[[File:MotsAgro_Taupage_Annexe 1_4.jpg|350px|thumb|right|<center>’’’Fig. 4. Travail à la charrue-taupe : mode de traction (Barral, 1854).’’’</center>]]
[[File:MotsAgro_Taupage_Annexe 1_5.jpg|200px|thumb|right|<center>’’’Fig. 5. Détail de la charrue-taupe (Barral, 1854).’’’</center>]]


Des essais entrepris en France en utilisant une charrue-taupe inventée par un autre anglais, William Robinson (fig. 3), sont rapportés par Byerley (1827 : 170). Le mode opératoire commence par le creusement avec une « charrue ordinaire » de  « petites tranchées » parallèles en nombre suffisant pour couvrir le champ à drainer. La charrue taupe est ensuite enfoncée à la profondeur voulue au fond des tranchées et elle avance tirée par une chaîne reliée à un treuil entraîné par 2 chevaux (fig.4 et 5). Byerley souligne la qualité du travail et la modicité du coût, opinion qui n’est pas partagée par Bailly de Merlieux (1835 : 144) qui propose une machine de son invention plus simple (fig. 6) (Bailly de Merlieux & Julien 1836 : 610), analogue à celle de Scott, ainsi qu’une charrue-taupe (fig. 7) dont le soc, qu’il nomme « coulissoir », est un cône en bois recouvert de métal.


Des essais entrepris en France en utilisant une charrue-taupe inventée par un autre anglais, William Robinson (fig. 3), sont rapportés par Byerley (1827 : 170). Le mode opératoire commence par le creusement avec une « charrue ordinaire » de  « petites tranchées » parallèles en nombre suffisant pour couvrir le champ à drainer. La charrue taupe est ensuite enfoncée à la profondeur voulue au fond des tranchées et elle avance tirée par une chaîne reliée à un treuil entraîné par 2 chevaux (fig.4). Byerley souligne la qualité du travail et la modicité du coût, opinion qui n’est pas partagée par Bailly de Merlieux (1835 : 144) qui propose une machine de son invention plus simple (fig. 5) (Bailly de Merlieux & Julien 1836 : 610), analogue à celle de Scott, ainsi qu’une charrue-taupe (fig. 6) dont le soc, qu’il nomme « coulissoir », est un cône en bois recouvert de métal.
[[File:MotsAgro_Taupage_Annexe 1_6.jpg|200px|thumb|left|<center>’’’Fig. 6. Charrue-taupe (Bailly de Merlieux & Julien, 1836).’’’</center>]]
 


[[File:MotsAgro_Taupage_Annexe 1_7.jpg|200px|thumb|left|<center>’’’Fig. 7. Charrue-taupe (Bailly de Merlieux, 1835). M-L : « coulissoir ».’’’</center>]]


Selon Greff (1846), un outil spécial n’est pas indispensable pour réaliser un taupage, on peut simplement utiliser une charrue normale privée de versoir, pourvu qu’elle ait une bonne entrure et soit suffisamment solide.
Selon Greff (1846), un outil spécial n’est pas indispensable pour réaliser un taupage, on peut simplement utiliser une charrue normale privée de versoir, pourvu qu’elle ait une bonne entrure et soit suffisamment solide.




[[A pour personne citée dans les annexes:: Christophe-Joseph-Alexandre Mathieu de Dombasle |Mathieu de Dombasle]] (1860 : 39) entretient la confusion de vocabulaire en évoquant la possibilité de réaliser « des boyaux ou conduits souterrains qui….produisent l’assainissement du sol », avec la « charrue sous-sol, ou charrue de défoncement et d’assainissement » (fig. 7) qui remplit l’office de charrue-taupe. Celle-ci passe également au fond de la raie ouverte par une charrue ordinaire.
[[A pour personne citée dans les annexes:: Christophe-Joseph-Alexandre Mathieu de Dombasle |Mathieu de Dombasle]] (1860 : 39) entretient la confusion de vocabulaire en évoquant la possibilité de réaliser « des boyaux ou conduits souterrains qui….produisent l’assainissement du sol », avec la « charrue sous-sol, ou charrue de défoncement et d’assainissement » (fig. 8) qui remplit l’office de charrue-taupe. Celle-ci passe également au fond de la raie ouverte par une charrue ordinaire.


[[File:MotsAgro_Taupage_Annexe 1_8.jpg|300px|thumb|right|<center>’’’Fig. 8. Charrue-taupe dite « charrue sous-sol » (Mathieu de Dombasle, 1860).’’’</center>]]


==Les outils modernes==
==Les outils modernes==
Les pièces travaillantes des outils modernes différent peu de celles des ancêtres du XVIII<sup>e</sup> siècle.
Les pièces travaillantes des outils modernes différent peu de celles des ancêtres du XVIII<sup>e</sup> siècle.


L’étançon droit et mince est fixé au châssis, il est terminé par un obus cylindrique, long de 30 à 40 cm, d’environ 5 à 7 cm de diamètre et biseauté à l’extrémité, auquel est rattaché de façon libre un boulet  de diamètre légèrement supérieur (fig. 8).
[[File:MotsAgro_Taupage_Annexe 1_9.jpg|200px|thumb|right|<center>’’’Fig. 9. Pièces travaillantes d’une taupeuse traînée (photo G. Trouche).’’’</center>]]


L’étançon droit et mince est fixé au châssis, il est terminé par un obus cylindrique, long de 30 à 40 cm, d’environ 5 à 7 cm de diamètre et biseauté à l’extrémité, auquel est rattaché de façon libre un boulet  de diamètre légèrement supérieur (fig. 9).


[[File:MotsAgro_Taupage_Annexe 1_10.jpg|250px|thumb|left|<center>’’’Fig. 10. Taupeuse portée (photo G. Trouche).’’’</center>]]


Les variantes du mode de liaison de l’outil au tracteur en position de transport et de travail conduisent à distinguer 3 modes d’attelage :  
Les variantes du mode de liaison de l’outil au tracteur en position de transport et de travail conduisent à distinguer 3 modes d’attelage :  
* Outil porté (fig. 9) au travail et pour le transport, attelé sur le relevage 3 points du tracteur. De constitution simple, il ne permet pas d’obtenir un profil en long régulier de la galerie ;  
* Outil porté (fig. 10) au travail et pour le transport, attelé sur le relevage 3 points du tracteur. De constitution simple, il ne permet pas d’obtenir un profil en long régulier de la galerie ;  
* Outil porté au transport et traîné au travail sur un châssis poutre qui en glissant sur le sol gomme les micro-irrégularités du terrain (fig. 8);
* Outil porté au transport et traîné au travail sur un châssis poutre qui en glissant sur le sol gomme les micro-irrégularités du terrain (fig. 11);
* Outil semi-porté au transport et traîné au travail (fig. 10 et 11), de construction plus complexe avec des systèmes de relevage par vérins ou câbles.
* Outil semi-porté au transport et traîné au travail (fig. 12), de construction plus complexe avec des systèmes de relevage par vérins ou câbles.
 
[[File:MotsAgro_Taupage_Annexe 1_11.jpg|280px|thumb|right|<center>’’’Fig. 11. Taupeuse traînée à vérin de relevage et chariot à roue (photo C. Perrey). En haut : position de transport ; en bas : position de travail.’’’</center>]]
[[File:MotsAgro_Taupage_Annexe 1_12.jpg|250px|thumb|left|<center>’’’Fig. 12. Taupeuse traînée avec chariot à roues et câbles de relevage en Grande-Bretagne (photo C. Perrey).’’’</center>]]





Version du 26 mai 2017 à 16:00

Date de mise en ligne
20 mai 2017 (texte), 26 mai (figures)
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Cette annexe se rapporte à l'article Taupage.

La « Charrue-taupe » ou taupeuse

Un peu d’histoire

’’’Fig. 1. : Mise en place des drains moulés (Barral, 1854).’’’

Selon un procédé préconisé par Switzer en Angleterre au XVIIIe siècle, les premières galeries taupe semblent avoir été réalisées à partir de tranchées (rebouchées ensuite) en tassant la terre autour d’un cylindre déposé au fond de l’excavation (fig. 1) et dont le déplacement de proche en proche permet d’obtenir progressivement une galerie enterrée (Rivard, 1993).

’’’Fig. 2. Charrue-taupe d’Adam Scott (Society for the encouragements of Arts, Manufactures, and Commerce, 1798, p. XVI).’’’

Plusieurs auteurs (Morogues et al., 1835 ; Scheidweiler, 1843 ; Rivard, 1993) attribuent l’invention de la charrue taupe à l’anglais Adam Scott qui dépose un brevet en 1797 après des essais réalisés en 1795 (Sinclair, 1825 : 374). Des améliorations y sont ensuite apportées par Lumbert (Loudon, 1825 : 580). L’outil est constitué d’un âge supportant un étançon à l’extrémité duquel est fixé un obus (fig. 2) ; cette configuration est conservée jusqu’à nos jours.

’’’Fig. 3. Charrue-taupe de William Robinson (Byerley, 1827).’’’
’’’Fig. 4. Travail à la charrue-taupe : mode de traction (Barral, 1854).’’’
’’’Fig. 5. Détail de la charrue-taupe (Barral, 1854).’’’

Des essais entrepris en France en utilisant une charrue-taupe inventée par un autre anglais, William Robinson (fig. 3), sont rapportés par Byerley (1827 : 170). Le mode opératoire commence par le creusement avec une « charrue ordinaire » de « petites tranchées » parallèles en nombre suffisant pour couvrir le champ à drainer. La charrue taupe est ensuite enfoncée à la profondeur voulue au fond des tranchées et elle avance tirée par une chaîne reliée à un treuil entraîné par 2 chevaux (fig.4 et 5). Byerley souligne la qualité du travail et la modicité du coût, opinion qui n’est pas partagée par Bailly de Merlieux (1835 : 144) qui propose une machine de son invention plus simple (fig. 6) (Bailly de Merlieux & Julien 1836 : 610), analogue à celle de Scott, ainsi qu’une charrue-taupe (fig. 7) dont le soc, qu’il nomme « coulissoir », est un cône en bois recouvert de métal.

’’’Fig. 6. Charrue-taupe (Bailly de Merlieux & Julien, 1836).’’’
’’’Fig. 7. Charrue-taupe (Bailly de Merlieux, 1835). M-L : « coulissoir ».’’’

Selon Greff (1846), un outil spécial n’est pas indispensable pour réaliser un taupage, on peut simplement utiliser une charrue normale privée de versoir, pourvu qu’elle ait une bonne entrure et soit suffisamment solide.


Mathieu de Dombasle (1860 : 39) entretient la confusion de vocabulaire en évoquant la possibilité de réaliser « des boyaux ou conduits souterrains qui….produisent l’assainissement du sol », avec la « charrue sous-sol, ou charrue de défoncement et d’assainissement » (fig. 8) qui remplit l’office de charrue-taupe. Celle-ci passe également au fond de la raie ouverte par une charrue ordinaire.

’’’Fig. 8. Charrue-taupe dite « charrue sous-sol » (Mathieu de Dombasle, 1860).’’’

Les outils modernes

Les pièces travaillantes des outils modernes différent peu de celles des ancêtres du XVIIIe siècle.

’’’Fig. 9. Pièces travaillantes d’une taupeuse traînée (photo G. Trouche).’’’

L’étançon droit et mince est fixé au châssis, il est terminé par un obus cylindrique, long de 30 à 40 cm, d’environ 5 à 7 cm de diamètre et biseauté à l’extrémité, auquel est rattaché de façon libre un boulet de diamètre légèrement supérieur (fig. 9).

’’’Fig. 10. Taupeuse portée (photo G. Trouche).’’’

Les variantes du mode de liaison de l’outil au tracteur en position de transport et de travail conduisent à distinguer 3 modes d’attelage :

  • Outil porté (fig. 10) au travail et pour le transport, attelé sur le relevage 3 points du tracteur. De constitution simple, il ne permet pas d’obtenir un profil en long régulier de la galerie ;
  • Outil porté au transport et traîné au travail sur un châssis poutre qui en glissant sur le sol gomme les micro-irrégularités du terrain (fig. 11);
  • Outil semi-porté au transport et traîné au travail (fig. 12), de construction plus complexe avec des systèmes de relevage par vérins ou câbles.
’’’Fig. 11. Taupeuse traînée à vérin de relevage et chariot à roue (photo C. Perrey). En haut : position de transport ; en bas : position de travail.’’’
’’’Fig. 12. Taupeuse traînée avec chariot à roues et câbles de relevage en Grande-Bretagne (photo C. Perrey).’’’


Dans tous les cas, la puissance de traction doit être largement suffisante pour éviter les à-coups et les relevages intempestifs liés à d’éventuelles irrégularités de la dureté du sol (Perrey, 1981).

Le vocabulaire utilisé dans le domaine du drainage agricole entretient une certaine confusion lexicale dans la mesure où les draineuses permettant l’enfouissement du drain sans ouverture d’une tranchée ont été d’abord appelées draineuse-taupe (Guyon & Dunglas, 1972 ; Viel, 1976), voire charrue-taupe (AEDAQ), et puis plus récemment poseuse sous-soleuse.


Références citées

  • AEDAC (Assoc. des Entrepreneurs en Drainage agricole du Québec). Drainage souterrain. Charrues de drainage. 4 p. [1](consulté mai 2016)
  • Bailly de Merlieux C., 1835. De la confection des fossés ouverts et couverts. In : Maison rustique du XIXe siècle. Encyclopédie pratique d’agriculture. Livre 1 : Agriculture proprement dite. Paris, p. 144. Texte intégral sur GoogleBooks.
  • Bailly de Merlieux C., Julien A., 1836. Mémorial encyclopédique et progressif des connaissances humaines ou annales des sciences, lettres et beaux arts ; des arts industriels, manufactures et métiers ; de l’histoire, la géographie et les voyages. Mémorial encyclopédique, Paris, 752p. Texte intégral sur GoogleBooks.
  • Byerley (le Chevalier), 1827. Description de la charrue-taupe et de son emploi. Mémoires d'agriculture, d'économie rurale et domestique, t 1 : 170-178. Société royale d'agriculture de Paris, Madame Huzard Paris. Texte intégral sur Gallica.
  • Greff M. 1846. Les pommes de terre régénérées et recherches sur les causes des maladies des pommes de terre. Warion, Metz, 100 p. Texte intégral sur Gallica.
  • Guyon G., Dunglas L., 1972. Le drainage par canalisations enterrées. Bull. Techn. Inf., 271-272: 839-868.
  • Loudon J.C., 1825. Encyclopaedia of agriculture. Longman, Londres, 1226 p. Texte intégral sur GoogleBooks.
  • Mathieu de Dombasle C.J.A., 1860. La Charrue sous-sol, ou charrue de défoncement et d’assainissement. In : Des instruments perfectionnés d’agriculture. Instructions sur leur emploi. Extrait du Calendrier du Bon Cultivateur, 10e édition par Ch de Meixmoron-Dombasle fils. Fabrique des instruments d’agriculture, Nancy : 39-43 Texte intégral sur Gallica.
  • Morogues de, Mirbel C.F., Héricart de Thury, Tollard, Payen, Barthélémy, Grogner, 1835. Desséchement. in : Cours complet d'agriculture, ou Nouveau dictionnaire d'agriculture théorique et pratique, d'économie rurale et de médecine vétérinaire…, Vivien L., dir., Pourrat, Paris. t. 8 : 277-316., Texte intégral sur Gallica.
  • Perrey C., 1981. Taupage associé au drainage. In : J. Concaret, dir., Le drainage agricole. Théorie et pratique. Chambre d’Agriculture de Bourgogne : 262-266.
  • Rivard P.J., 1993. Évaluation de la technique de drainage-taupe dans les argiles lourdes de l’Abiti-Temiscamingue. Thèse Ms Sc., Univ. Mc Gill, Québec, 79 p. Texte intégral sur le site de l'Université Mc Gill.
  • Scheidweiler J., 1843. Cours raisonné et pratique d’agriculture et de chimie agricole, vol 1. Société Belge de librairie, Bruxelles, 604 p. Texte intégral sur GoogleBooks.
  • Sinclair J. (Sir), 1825. L’agriculture pratique et raisonnée. Trad. C.J.A.Mathieu de Dombasle. T. 1, Huzard, Paris / Devilly, Metz, 586 p. Texte intégral sur GoogleBooks.
  • Society for the Encouragement of Arts, Manufactures, and Commerce. Transactions, vol 16. Spilsbury, Londres, 445p.. Texte intégral sur GoogleBooksa.
  • Viel B., 1976. Inventaire des matériaux et matériels, N° spécial Irrigation-drainage, Entreprises agricoles, 101-103.


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