Gelées de printemps : éclairages historiques - Annexe 4

De Les Mots de l'agronomie
Date de mise en ligne
19 juin 2021
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Cette annexe se rapporte à l'article Gelées de printemps : éclairages historiques.

Observations des différents effets que produisent sur les Végétaux, les grandes gelées d’Hiver & les petites gelées du Printemps. Par Mrs du Hamel & de Buffon

Extraits commentés. Les gras sont de nous

« La physique des végétaux qui conduit à la perfection de l’agriculture, est une de ces sciences dont le progrès ne s’augmente que par une multitude d’observations qui ne peuvent être l’ouvrage ni d’un homme seul, ni d’un temps borné. Aussi ces observations ne passent-elles guère pour certaines que lorsqu’elles ont été répétées & combinées en différents lieux, en différentes saisons, & par différentes personnes qui aient eu les mêmes idées. Ça a été dans cette vue que nous nous sommes joints, M. de Buffon & moi, pour travailler de concert à l’éclaircissement d’un nombre de phénomènes difficiles à expliquer dans cette partie de l’histoire de la Nature, de la connaissance desquels il peut résulter une infinité de choses utiles dans la pratique de l’agriculture. » Un texte qui devrait figurer au fronton de tous les établissements de recherche agronomique…

Duhamel du Monceau (36 ans) et Buffon (29 ans) collaborent alors, avant de devenir rivaux puis de se réconcilier 20 ans plus tard quand Buffon passera à Duhamel ses notes pour la traduction de Horse-hoeing Husbandry de Jethro Tull.

C’est Duhamel qui expose, d’où parfois le « je ».

Ils commencent par évoquer le terrible hiver de 1709, plus de 25 ans auparavant, qui a causé une famine, tué de nombreux arbres et endommagé les troncs des survivants :

« Une gelée qui nous prive des choses les plus nécessaires à la vie, qui fait périr entièrement plusieurs espèces d’arbres utiles (…) est certainement des plus redoutables (…), mais heureusement on ne peut citer que deux à trois hivers qui, comme celui de l’année 1709, aient produit une calamité si générale. Les plus grands désordres que causent jamais les gelées du printemps, ne portent pas, à beaucoup près, sur des choses aussi essentielles, quoiqu’elles endommagent les grains, & principalement le Seigle lorsqu’il est nouvellement épié & en lait ((première mention d’un effet du gel dépendant du stade des plantes)), on n’a jamais vu que cela ait produit de grandes disettes. Elle n’affecte pas les parties les plus solides des arbres, leur tronc ni leurs branches, mais elle détruit totalement leurs productions, & nous prive des récoltes de vins & de fruits (…). Ainsi quoiqu’il y ait quelques exemples que la gelée d’hiver nous ait réduits à manquer de pain, & à être privés pendant plusieurs années d’une infinité de choses utiles que nous fournissent les végétaux, le dommage que causent les gelées du printemps nous devient encore plus important, parce qu’elles nous affligent beaucoup plus fréquemment ; car il arrive presque tous les ans quelques gelées en cette saison (…).

A ne considérer que les effets de la gelée, même très superficiellement, on aperçoit déjà que ceux que produisent les fortes gelées de l’hiver, sont très différents de ceux qui sont occasionnés par les gelées du printemps, puisque les unes attaquent le corps même & les parties les plus solides des arbres, au lieu que les autres détruisent simplement leurs productions, & s’opposent à leurs accroissements. Mais nous ferons voir en même temps qu’elles agissent dans des circonstances bien différentes, & que ce ne sont pas toujours les terroirs, les expositions & les situations où l’on remarque que les gelées d’hiver ont produit de plus grands désordres, qui souffrent le plus des gelées du printemps. »

La première partie du Mémoire traite des grandes gelées de l’hiver. « La plupart des arbres étant dans cette saison dépouillés de fleurs, de fruits & de feuilles, ont ordinairement leurs bourgeons endurcis, & en état de supporter des gelées assez fortes (…) & le plus souvent (…) les arbres supportent les rigueurs de cette saison sans en être endommagés, à moins qu’il ne vienne des froids excessifs joints à des circonstances fâcheuses. » Elle examine en détail différents types de dégâts observés sur (dans) les troncs d’arbres : « 1° des gerces qui suivent la direction des fibres, & que les gens de Forêts appellent gelivures. 2° Une portion de bois mort renfermée dans de bon bois, ce que quelques forestiers appellent la gelivure entrelardée ». C’est à l’exposition au Nord qu’on trouve le plus souvent la première ; mais pour la seconde « cet aubier mort se trouve presque toujours à l’exposition du Midi, parce que le soleil venant à fondre la glace de ce côté, il en résulte une humidité qui regèle de nouveau sitôt après que le soleil a disparu, ce qui forme un verglas qui, comme l’on sait, cause un préjudice considérable aux arbres. »

***

« Nous passerons aux observations que nous avons faites sur les effets des gelées du printemps, après avoir dit un mot des avantages & des désavantages des différentes expositions par rapport à la gelée, car cette question est trop intéressante à l’Agriculture pour ne pas essayer de l’éclaircir, d’autant que les Auteurs se trouvent dans des oppositions de sentiments plus capables de faire naître des doutes que d’augmenter nos connaissances, les uns prétendant que la gelée se fait sentir plus vivement à l’exposition du Nord, les autres voulant que ce soit à celle du Midi ou du Couchant, & tous ces avis ne sont fondés sur aucune observation. Nous sentons cependant bien ce qui a pu partager ainsi les sentiments, & c’est ce qui nous a mis à portée de les concilier. »

« Il n’est pas douteux que c’est à l’exposition du Nord qu’il fait le plus grand froid, elle est à l’abri du soleil, qui peut seul dans les grandes gelées tempérer la rigueur du froid, d’ailleurs elle est exposée au vent de Nord, de Nord-est & de Nord-ouest, qui sont les plus froids de tous, non seulement à en juger par les effets que ces vents produisent sur nous, mais encore par la liqueur des Thermomètres dont la décision est bien plus certaine (…) la liqueur du Thermomètre se tient toujours plus bas à l’exposition du Nord qu’à celle du Midi, ainsi il est incontestable qu’il y fait plus froid & qu’il y gèle plus fort. » Divers modèles de thermomètres et échelles de températures avaient été inventés depuis Galilée [1]. Lequel utilisaient-ils ? Celui de Réaumur, à alcool, avec une échelle de 0° pour la glace fondante et 80° pour l’ébullition de l’alcool ?

« En faut-il davantage pour faire conclure que la gelée doit faire plus de désordre à cette exposition qu’à celle du Midi ? (…) Il est sûr que tous les accidents qui dépendront uniquement de la grande force de la gelée (…) se trouveront plus fréquemment à l’exposition du Nord que partout ailleurs. Mais est-ce toujours la grande force de la gelée qui endommage les arbres, & n’y a-t-il pas des accidents particuliers qui font qu’une gelée médiocre leur cause beaucoup plus de préjudice que ne font des gelées beaucoup plus violentes quand elles arrivent dans des circonstances heureuses ? (…) Les observations que nous avons faites sur les effets des gelées du printemps, nous fournissent beaucoup d’exemples qui prouvent incontestablement que ce n’est pas aux expositions où il gèle le plus fort, & où il fait le plus grand froid, que la gelée fait le plus de tort aux végétaux. (…) Nous commencerons par une expérience que M. de Buffon a fait exécuter en grand dans ses bois, qui sont situés près de Montbard en Bourgogne.

Il a fait couper dans le courant de l’hiver 1734, un Bois taillis de sept à huit arpents ((3,5 à 4 ha)), situé dans un lieu sec, sur un terrain plat bien découvert, & environné de tous côtés de terres labourables. Il a laissé dans ce même bois plusieurs petits bouquets carrés sans les abattre, & qui étaient orientés de façon que chaque face regardait exactement le Midi, le Nord, le Levant & le Couchant. Après avoir fait bien nettoyer la coupe, il a observé avec soin au printemps l’accroissement du jeune bourgeon, principalement autour des bouquets réservés ; au 20 avril il avait poussé sensiblement dans les endroits exposés au Midi, & qui par conséquent étaient à l’abri du vent du Nord par les bouquets ; c’est donc en cet endroit que les bourgeons poussèrent les premiers & parurent les plus vigoureux. Ceux qui étaient à l’exposition du Levant parurent ensuite, puis ceux de l’exposition du couchant, & enfin ceux de l’exposition du Nord.

Le 28 avril, la gelée se fit sentir très vivement le matin par un vent du Nord, le ciel étant fort serein, & l’air fort sec, surtout depuis trois jours. Il alla voir en quel état étaient les bourgeons autour des bouquets, & il les trouva absolument gelés & noircis dans tous les endroits qui étaient exposés au Midi & à l’abri du vent du Nord ; au lieu que ceux qui étaient exposés au vent froid du Nord qui soufflait encore, n’étaient que légèrement endommagés, & il fit la même observation autour de tous les bouquets qu’il avait fait réserver. A l’égard des expositions du Levant & du couchant, elles étaient ce jour-là à peu près également endommagées. ((De même les 14, 15 & 22 mai)).

Cette expérience nous paraît décisive, & fait voir que quoiqu’il gèle plus fort aux endroits exposés au vent du Nord qu’aux autres, la gelée y fait cependant moins de tort aux végétaux.

Ce fait est assez opposé au préjugé ordinaire, mais il n’en est pas moins certain, & même il est aisé à expliquer ; il suffit pour cela de faire attention aux circonstances dans lesquelles la gelée agit, & on reconnaîtra que l’humidité est la principale cause de ces effets, en sorte que tout ce qui peut occasionner cette humidité, rend en même temps la gelée dangereuse pour les végétaux, & tout ce qui dissipe l’humidité, quand même ce serait en augmentant le froid, tout ce qui dessèche, empêche les désordres de la gelée ».

Il nous paraît aujourd’hui étrange que ni Buffon ni Duhamel ne relient les dégâts à l’état d’avancement de la végétation, alors qu’ils font ce lien ailleurs dans le Mémoire. Cette interprétation basée sur la seule humidité est dans la ligne de celle sur les gelées d’hiver : l’eau augmente de volume en gelant, donc plus il y a d’humidité, plus les dégâts sont grands. Duhamel et Buffon la « confirment » par les observations relatées ensuite, dont nous ne reprenons que ceci :

« Or tous les désordres dont nous venons de parler, soit à l’égard des vallées, soit pour ce qui se trouve le long des grands bois, ou à couvert par les baliveaux, ne sont plus considérables dans ces endroits que dans les autres, que parce que le vent & le soleil ne pouvant dissiper la transpiration de la terre & des plantes, il y reste une humidité considérable qui, comme nous l’avons dit, cause un très grand préjudice aux plantes. (…) Quelques années plus tôt, Buffon avait traduit la Statique des végétaux de Hales, le premier grand ouvrage scientifique avec diverses expériences sur la transpiration des végétaux (voir Une histoire de l’évapotranspiration).
C’est principalement pour cette même raison que la gelée agit plus puissamment dans les endroits qu’on a fraîchement labourés qu’ailleurs, & cela parce que les vapeurs qui s’élèvent continuellement de la terre, transpirent plus librement & plus abondamment des terres nouvellement labourées que des autres, il faut néanmoins ajouter à cette raison, que les plantes fraîchement labourées poussent plus vigoureusement que les autres, ce qui les rend plus sensibles aux effets de la gelée. De même nous avons remarqué que dans les terrains légers & sablonneux la gelée fait plus de dégâts que dans les terres fortes, en les supposant également sèches, sans doute parce qu’ils sont plus hâtifs, & encore plus parce qu’il s’échappe plus d’exhalaisons de ces sortes de terre que des autres, (…) ; & si une vigne nouvellement fumée est plus sujette à être endommagée de la gelée qu’une autre, n’est-ce pas à cause de l’humidité qui s’échappe des fumiers ?

Un sillon de Vigne qui est le long d’un champ de Sainfoin ou de Pois, &c. est souvent tout perdu de la gelée lorsque le reste de la Vigne est très sain, ce qui doit certainement être attribué à la transpiration du Sainfoin ou des autres plantes qui portent une humidité sur les pousses de la Vigne. Aussi dans la Vigne les verges qui sont de long sarment qu’on ménage en taillant, sont-elles toujours moins endommagées que la souche, surtout quand n’étant pas attachées à l’échalas, elles sont agitées par le vent, qui ne tarde pas de les dessécher.

Autres mentions d’un effet du gel dépendant de l’état des plantes.

La même chose se remarque dans les bois, & j’ai souvent vu dans les taillis tous les bourgeons latéraux d’une souche entièrement gâtés par la gelée, pendant que les rejetons supérieurs n’avaient pas souffert, mais M. de Buffon a fait cette même observation avec plus d’exactitude ; il lui a toujours paru que la gelée faisait plus de tort à un pied de terre qu’à deux, à deux qu’à trois, de sorte qu’il faut qu’elle soit bien violente pour gâter les bourgeons au-dessus de quatre pieds. » Les thermomètres existant alors ne leur permettaient sans doute pas d’expliquer cette observation. Des mesures de température à différentes hauteurs au-dessus du sol ne seront faites que 50 ans plus tard.

«  Toutes ces observations, qu’on peut regarder comme très constantes, s’accordent donc à prouver que le plus souvent ce n’est pas le grand froid qui endommage les plantes, que c’est plutôt sur des plantes chargées d’humidité (…). » Suivent des observations et hypothèses d’explications sur l’effet du soleil levant, que nous avons transférées dans l’annexe 5.

« Quoiqu’on puisse conclure de ces conjectures, dont je ne suis pas à beaucoup près satisfait, il reste toujours pour constant :

  • 1° Qu’il arrive à la vérité rarement qu’en hiver ou au printemps les plantes soient endommagées simplement par la grande force de la gelée, & indépendamment d’aucunes circonstances particulières, & dans ce cas c’est à l’exposition au Nord que les plantes souffrent le plus.
  • 2° Dans le temps d’une gelée qui dure plusieurs jours ((gelées d’hiver)), l’ardeur du soleil fait fondre la glace en quelques endroits, & seulement pour quelques heures, car souvent il regèle avant le coucher du soleil, ce qui forme un verglas très préjudiciable aux plantes, & on sent que l’exposition du Midi est plus sujette à cet inconvénient que toutes les autres.
  • 3° On a vu que les gelées du printemps font principalement du désordre dans les endroits où il y a de l’humidité, les terroirs qui transpirent beaucoup, les fonds des vallées, & généralement tous les endroits qui ne pourront être desséchés par le vent & le soleil, seront plus endommagés que les autres ((d’où, ils l’ont écrit précédemment, l’exposition au couchant est la plus dommageable)).

Enfin si au printemps le soleil qui donne sur les plantes gelées, leur occasionne un dommage plus considérable, il est clair que ce sera l’exposition au Levant & ensuite celle du Midi qui souffriront plus de cet accident.

Mais, dira-t-on, si cela est, il ne faut donc plus planter à l’exposition du Midi » en à-dos, qui sont des talus de terre qu’on ménage dans les Potagers, ou le long des espaliers, les Giroflées, les Choux des avents, les Laitues d’hiver, les Pois verts & les autres plantes délicates auxquelles on veut faire passer l’hiver, & que l’on souhaite avancer pour le printemps, ce sera à l’exposition du Nord qu’il faudra dorénavant planter les Pêchers & les autres arbres délicats. Il est à propos de détruire ces deux objections, & de faire voir qu’elles sont de fausses conséquences de ce que nous avons avancé. On se propose différents objets quand on met des plantes passer l’hiver à des abris exposés au Midi, quelquefois c’est pour hâter leur végétation (…) ; d’autres fois c’est pour les préserver de la rigueur de cette saison, dans l’intention de les replanter de bonne heure au printemps ; on suit, par exemple, cette pratique pour les Choux qu’on appelle des avents, qu’on sème en cette saison le long d’un espalier. Cette espèce de Choux, de même que les Broccolis, sont assez tendres à la gelée, & périraient souvent à ces abris si on n’avait pas soin de les couvrir pendant les grandes gelées avec des paillassons ou du fumier soutenu sur des perches. Enfin on veut quelquefois avancer la végétation de quelques Plantes qui craignent la gelée, comme seraient les Giroflées, les Pois verts, & pour cela on les plante sur des à-dos bien exposés au Midi, mais de plus on les défend des grandes gelées en les couvrant lorsque le temps l’exige. » ((Suit une liste des avantages de l’exposition au midi)).

«  De plus, comme le soleil dessèche beaucoup la terre le long des espaliers qui sont au Midi, la terre y transpire moins qu’ailleurs. (…) Toutes ces précautions sont cependant bien inférieures à ces espaliers en niche ou en renfoncement, tels qu’on en construit actuellement au Jardin du Roi (…) & la plupart des plantes ne souffriront pas d’être ainsi privées de l’humidité extérieure, parce qu’elles ne transpirent presque pas dans l’hiver, non plus qu’au commencement du printemps, de sorte que l’humidité de l’air suffit à leur besoin. »

Une observation très juste… qui affaiblit l’interprétation de l’effet des gelées dû à l’humidité produite par la transpiration !

Le Mémoire se termine par un résumé des recommandations auxquelles il conduit :

« Puisqu’en labourant la terre, on en fait sortir plus d’exhalaisons, il faut prêter plus d’attention à ne pas la faire labourer dans les temps critiques.

On doit défendre expressément qu’on ne sème sur les sillons de Vigne, des plantes potagères qui par leur transpirations nuiraient à la Vigne. (…) Une partie de ces précautions peut aussi être employée très utilement pour les arbres fruitiers, à l’égard, par exemple, des plantes potagères que les jardiniers sont toujours empressés de mettre au pied de leurs buissons, & encore plus le long de leurs espaliers.

S’il y a des parties hautes & d’autres basses dans les jardins, on pourra avoir l’attention de semer les plantes printanières & délicates sur le haut, préférablement au bas, à moins qu’on n’ait dessein de les couvrir avec des cloches, des châssis, &c. car dans ce cas où l’humidité ne peut nuire, il serait souvent avantageux de choisir les lieux bas pour être à l’abri du vent du Nord & du Nord-ouest. (…)

Il y aurait encore bien d’autres conséquences utiles qu’on pourrait tirer de nos observations, nous nous contenterons cependant d’en avoir rapporté quelques-unes, parce qu’on pourra suppléer à ce que nous avons omis, en prêtant un peu d’attention aux observations que nous avons rapportées. Nous sentons bien qu’il y aurait encore sur cette matière nombre d’expériences à faire, mais nous avons cru qu’il n’y avait aucun inconvénient à rapporter celles que nous avions faites ; peut-être même engageront-elles quelque autre personne à travailler sur la même matière, & si elles ne produisent pas cet effet, elles ne nous empêcheront pas de suivre les vues que nous avons encore sur cela. »

Note

Référence Duhamel du Monceau H.L., Buffon G.L. Leclerc de, 1737. Observations des différents effets que produisent sur les Végétaux, les grandes gelées d’Hiver & les petites gelées du Printemps. C.R. Acad.e Royale des Sciences : 273-298. Texte intégral ; Texte intégral

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